Fondé en 1944, Le Parisien demeure le média référence dans le domaine de l’information locale. Figure incontournable de la presse quotidienne régionale, ce journal décortique depuis soixante-quinze ans, l’actualité de la région francilienne. Média populaire et grand public, Le Parisien demeure la voix informative préférée des Parisiens.
Contexte
Apolitique et proche de ses lecteurs, Le Parisien offre depuis soixante-quinze ans une information personnalisée. Tout en couvrant l’actualité de la région parisienne, ce journal propose à son lectorat des articles qui s’intègrent dans un contexte plus généraliste. C’est en pleine Seconde Guerre mondiale, en août 1944, que les résistants Émilien Amaury et Claude Bellanger fondent le premier journal de l’après-guerre : Le Parisien Libéré. L’arc de triomphe orne la bannière du journal qui annonce son premier scoop, le 20 août 1944, la libération de la capitale par les FFI. De la volonté de son fondateur, Émilien Amaury, Le Parisien Libéré se présente comme un journal moderniste qui veut proposer une actualité au plus proche du quotidien de ses lecteurs. Les années 60 constituent pour Le Parisien, une période d’innovations médiatiques avec le lancement de ses premières éditions locales et la création d’un tout nouveau format papier adapté aux contraintes des transports en commun. Attirant un public familial, les colonnes du journal proposent une actualité locale qui s’insère dans un contexte plus généraliste.
▲ Depuis plus de 75 ans, le journal Le Parisien offre une information variée et multidisciplinaire qui offre une compréhension générale de l’actualité à partir de faits locaux (©️ Le Parisien).
Depuis la parution du premier numéro du Parisien Libéré en 1944, le journal n’a cessé d’évoluer avec son temps. Fidèle à son adage, « un journal qui a du caractère », le média de la famille Amaury s’est progressivement imposé comme un leader sur le marché de l’information locale. Cette identité régionale, Le Parisien Libéré la renforce le 25 janvier 1986 en adoptant sa dénomination du Parisien. « Cette innovation est décisive à un moment où chacun ressent plus que jamais la nécessité de retrouver le sourire de la couleur au milieu de notre grisaille quotidienne », écrit le journal. Ce renouveau passe notamment par la création d’une nouvelle maquette contenant de la couleur, des cahiers régionaux et surtout une différenciation prononcée entre la presse nationale et la presse locale. En 1994, Le Parisien lance son édition nationale intitulée Aujourd’hui qui plus tard sera rebaptisée Aujourd’hui en France. Augmentant ses tirages, Le Parisien étend son offre en kiosque au dimanche, avec cette parution qui sera suivie par Aujourd’hui en France.
▲ Journalistes du Parisien en pleine élaboration de leur reportage (©️ Le Parisien).
Les années 2000 marquent un tournant dans la politique éditoriale du journal. Son traitement de l’information va changer avec les demandes de consommation de l’information de son lectorat. Pour son directeur des rédactions d’alors, Christian de Villeneuve, Le Parisien se doit d’offrir des contenus plus modernes, plus riches en informations et devant répondre à sa seule vocation, présenter un sommaire attrayant malgré une actualité qui n’est pas toujours au beau fixe. Suivant cette nouvelle orientation, Le Parisien propose une nouvelle maquette et abaisse ses tarifs et passe notamment à 1€ la semaine et environ 1,20€ le vendredi et le dimanche. Quotidien grand public, celui-ci diversifie son offre avec la création en 2012 du Parisien Magazine et en 2018, avec le Parisien Dimanche. L’inauguration de ces nouveaux journaux coïncide avec la volonté de la direction de proposer des contenus axés sur la culture et les sujets de divertissement. En mai 2015, le groupe Amaury, dernier éditeur indépendant de presse vend la marque Le Parisien au groupe LVMH de Bernard Arnault pour un montant d’environ 50 millions d’euros. Suite à ce rachat, Le Parisien change de nouveau sa ligne éditoriale en proposant dès l’année suivante, des contenus multimédias renforçant la proximité et les services. Depuis la parution du premier numéro, les grands noms du journalisme vont se succéder dans ses colonnes pour y signer des papiers remarqués, à l’image de Nathalie Schuck, Gilles Verdez, Philippe Martinat et Dominique Séverac. Le Parisien, le seul journal qui rend plus accessible la compréhension de l’actualité au grand public.
Focus : dans les coulisses du Parisien
En septembre 2017, les rédactions du Parisien et d’Aujourd’hui en France déménageaient dans leurs nouveaux locaux du 10 boulevard de Grenelle (Paris, 15e). Après plus de quarante années de fidélité à la ville de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), pour recentrer le traitement de l’information, Le Parisien rejoint enfin le coeur de la capitale. Immersion dans les locaux de la rédaction.
Au coeur d'une édition locale : Le Parisien (75)
13 500, c’est le nombre de canards en kiosque, de l’édition de Paris du Parisien, disponibles chaque jour dans la capitale. Constituée d’une dizaine de rédacteurs, l’édition de Paris couvre une actualité quotidienne au plus près des attentes des lecteurs du journal. Sous la direction du chef d’édition, Nicolas Maviel, les journalistes agissent par secteurs et par domaines de spécialités. Actualités politiques, sociétales, culturelles … L’ensemble des pages de l’édition de Paris fournissent des articles en fonction des arrondissements. Composant le cahier central de l’édition nationale, l’édition de Paris se décline en une dizaine de pages. Au programme, des sujets consacrés à la vie locale comme par exemple les élections municipales, le patrimoine de quartier ainsi que les faits divers. Les sujets sont le fruit d’une réflexion commune, à l’occasion des conférences de rédaction qui permettent de mettre en avant des contenus insolites et proches de la vie des gens. La marque Le Parisien bénéficie d’une certaine reconnaissance de la part du public qui demeure attaché à ce média de proximité. Pour preuve, sur la période 2018-19, le nombre d’abonnements a augmenté de +2,2 % par rapport à l’année 2017-18. Le Parisien, un média au plus près de votre quotidien.
Économie du média
Le seul journal de presse quotidienne régionale qui couvre toute l’actualité de la région Île-de-France depuis 1944. Le Parisien fait partie de cette nouvelle génération de médias locaux avec La Provence, Nice-Matin, Le Paris Normandie et Ouest France à être fondé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui dirigé par Pierre Louette et propriété du groupe Moët Hennessy Louis Vuitton (L.V.M.H), Le Parisien demeure une référence parmi les titres de presse écrite régionale.
Chiffres
•Le Parisien, c’est environ 200.000 exemplaires par mois ;
• Le Parisien , c’est environ 8.793.000 lecteurs par an ;
• Le Parisien, c’est près de 5.903 abonnements individuels et inscrits, pour l’année 2018.
Analyse
Le Parisien 75 est un journal quotidien tiré à 10 000 exemplaires par jour et distribué en France et en Outre-mer (Antille, Guyane, Réunion). Il existe depuis soixante-quinze ans maintenant et est devenu au fil de son existence le leader n° 1 de l’information locale francilienne.
Le contenu : sommaire du journal, une du jour avec son actualité forte, informations liées aux quartiers centre ouest, nord-est et rive gauche de la capitale, Paris et sa région, pages loisirs et sorties culturelles, pages sport, transports.
En plus de l’édition de Paris, le journal dispose d’éditions locales. Depuis les années 60, Le Parisien publie des suppléments départementaux à l’intérieur de son édition nationale. Au nombre de 10, ces éditions locales couvrent les actualités des différents départements d’Ile-de-France (Essonne, Val-de-Marne, Seine-Saint-Denis) grâce à un vaste réseau de journalistes-correspondants.
Le journal Le Parisien bénéficie de subventions publiques. En 2018, les aides allouées par l’État au Parisien s’élevaient à 1 749 538 euros. Cela en fait le dixième titre de presse écrite le plus aidé en France. Son chiffre d’affaires global en 2017 était d’un montant de 185 026 400 €.
En bref.
Le Parisien est édité par la société du Parisien libéré, SAS au capital de 21 587 412 euros, immatriculée au Registre du commerce et des sociétés sous le numéro RCS 332 890 359, dont le siège social est situé au 10, boulevard de Grenelle, à Paris (15e). Contacts : 01 87 39 71 00 – serviceclient@leparisien.fr.
Équipe de rédaction
Fondé par Émilien Amaury ;
Président : Pierre Louette
Directeur des rédactions : Stéphane Albouy
Rédacteur en chef des Éditions – Le Parisien : Frédéric Michel
Chef d’édition Paris – Le Parisien : Nicolas Maviel
Chef d’édition adjoint Paris – Le Parisien : Charlotte Robinet
Journalistes – rédacteurs : Éric le Mitouard, Élodie Soulié, Benoit Hasse, Céline Carez, Julien Duffé, Philippe Baverel, Cécile Beaulieu, Christine Henry, Marie-Anne Gairaud.
La stratégie numérique du Parisien
Le journal Le Parisien ne cesse de faire évoluer ses outils de transmission de l’information. L’édition papier bien que rentable, n’attire pas un lectorat assez jeune. Dès 2015, la direction générale du groupe fait le choix décliner son offre sur de nouveaux supports en ligne. Cette numérisation de l’information doit attirer un public jeune grâce à des contenus au plus proche de ses intérêts. Désormais, au Parisien, le web passera avant le papier.
→ Le site (http://www.leparisien.fr/) : Créé en 2009, le site internet du Parisien a pour complète sa version papier, en apportant des actualités locales qui s’insèrent dans un contexte plus généraliste. Digitalisant ses contenus, ce site offre quatre visites gratuites pour des articles courts. Le site produit une information en continu et génère en mars 2019, plus de 2 millions de pages vues et environ 50 millions de visiteurs uniques. Un forum est également mis à la disposition du public pour échanger en direct avec la rédaction du journal.
→ La chaîne YouTube (LE PARISIEN) : La page vidéo du Parisien présente de manière générale, des reportages liés aux nombreuses actualités de la région parisienne. Ouverte en octobre 2014, la chaîne YouTube du Parisien comptabilise une moyenne de 63 896 550 vues pour 112 974 abonnés.
La chaîne YouTube de @le_Parisien dépasse les 100.000 abonnés, merci public ! https://t.co/CVQQ74J8N4 Bravo au pôle visuel, à la rédac web et à la direction numérique
— Aurélien Viers (@aviers) 13 avril 2019
❖ Sur les réseaux sociaux, Le Parisien est présent sur Facebook (3 211 575 abonnés), Twitter (2,17 millions abonnés), Instagram (167 000 abonnés) et Snapchat.
Interview – Charlotte Robinet : « Chercher une information de proximité »
Chef d’édition adjoint de l’édition de Paris du Parisien, Charlotte Robinet nous présente les coulisses d’un quotidien régional. Elle nous détaille les missions d’un journaliste de PQR et nous expose la place occupée par cette actualité locale dans la presse nationale.
Pouvez-vous nous définir la notion de journaliste de presse régionale ?
Charlotte Robinet : « C’est quelqu’un qui cherche une information de proximité. Faits divers, politique, économie, culture, il couvre tous les sujets d’un journaliste normal, mais à l’échelle locale. Le lecteur cherche à s’identifier au quotidien qu’il lit, grâce à cette information de proximité. Les thèmes couverts doivent être les plus larges possible, mais doivent prendre en compte l’espace géographique. Je dirais que le contact du terrain permet d’avoir une certaine visibilité auprès de ce lectorat. Cela crée du lien et donc permet de développer un réseau pour l’élaboration de futurs sujets. »
L’actualité locale, occupe-t-elle encore aujourd’hui une grande place dans la presse française ?
Charlotte Robinet : « Oui. Il s’agit du point de départ de l’information. La presse régionale est le maillon essentiel de cette chaîne globale de couverture médiatique. Une information régionale peut être traitée à l’échelle locale puis prendre de l’ampleur, pour ensuite remonter aux grands médias nationaux qui la reprendront. »
Quelles sont les méthodes de travail d’un journaliste de presse régionale ?
Charlotte Robinet : « Sensiblement les mêmes que celles d’un journaliste classique. Peu importe son média d’appartenance, ce qui compte pour un journaliste, c’est qu’il vérifie toujours ses sources et qu’il retranscrive l’essentiel de l’information. Ce qui va changer, c’est la manière dont on va capter un évènement pour ensuite le transmettre à notre lectorat. Savoir anticiper, c’est toujours important, surtout dans la presse locale. En alimentant ce réseau de proximité, on peut planifier la couverture d’évènements à venir ainsi que les intervenants. »
Selon vous, pour quelles raisons Le Parisien réussit-il à demeurer un titre référence sur le marché de la presse quotidienne régionale ?
Charlotte Robinet : « Le Parisien est un journal qui est force de proposition. Il accorde une grande place à l’actualité locale dans son traitement de l’information. Les sujets traités sont variés et ils fournissent un vivier important de sujets de proximité. Tous nos journalistes vont sur le terrain et ils renforcent cette actualité qui est revalorisée dans leurs papiers. Le contact au plus près des Parisiens constitue l’ADN du journal.»
Comment envisagez-vous l’avenir de la presse locale ?
Charlotte Robinet : « Le numérique va considérablement développer les nouvelles formes d’expression du journal, qui devra varier ses formats pour se distinguer des autres médias. Le fond sera toujours présent, mais, la forme évoluera. Le plus important sera surtout de s’adapter aux demandes de consommation de l’information de la part du public. »
Les aventures de Maxou au Parisien
Le Parisien est un journal de référence dans le paysage de l’information locale. J’ai eu la chance de pouvoir réaliser ce stage de troisième année au sein de cette rédaction, jeune et dynamique. Cette aventure journalistique s’est déroulée en janvier 2019. En intégrant pour un mois, la prestigieuse édition de Paris du Parisien, boulevard de Grenelle, j’ai rapidement pris conscience du défi mais aussi de l’immense opportunité que ce stage représente pour la suite de ma carrière.
Durant ce mois de stage, j’étais en charge de la rubrique « sorties » du week-end de l’édition de Paris. Je devais sélectionner les spectacles, les expositions, les évènements atypiques, susceptibles d’attirer la curiosité de nos lecteurs. Sur cette page du journal de samedi, j’avais en charge de choisir la sortie « cool » du week-end et de mettre en place un agenda culturel. Ce fut un travail très pointilleux, notamment pour sélectionner des sorties attractives et bon marché. Je devais avoir un style péchu et accrocheur afin de donner aux lecteurs l’envie de se déplacer le week-end. J’ai eu la chance de partir rapidement sur le terrain, pour parfaire mon expérience personnelle dans cette branche spécialisée du journalisme.
▲ Durant ce stage, j’ai eu la chance de cotoyer des personnalistés publique comme le ministre, Gérald Darmanin ou le chef étoilé, Babette de Rozières.
Cette expérience m’a amené à réaliser de nombreux articles sur la vie culturelle parisienne. Un stage fait de rencontres, qui m’ont amené à côtoyer Emmanuel Ryon, meilleur ouvrier de France, Aurélie Clemente-Ruizou, directrice du département des expositions de l’Institut du monde arabe, Frédéric Hocquard, maire-adjoint adjoint de la vie nocturne et de la diversité de l’économie culturelle à la mairie de Paris. J’ai même eu la chance de pouvoir publier dans les colonnes du journal, ma grande enquête de troisième année à l’EFJ dédiée aux incivilités sur le métro parisien. Que ce soit du travail de mise en ligne, de la rédaction des articles sur les articles, au bouclage de la page culture, j’ai eu la chance de diversifier mes compétences de rédacteur. Ce travail, vraiment passionnant m’a demandé d’ouvrir mes domaines d’intérêt général afin de réussir au mieux à concilier les nouvelles attentes du métier.
Contributions journalistiques
L’ensemble de mes travaux, réalisé durant ma période de stage dans la rédaction du Parisien (janvier 2019) est présenté dans la liste ci-dessous. Bonne lecture à tous .
❖ Journal du 12 janvier 2019
Article print : Près de chez-vous – nos idées sorties de ce week-end
Article web : Paris : tuer n’est pas jouer à la Gaîté Lyrique
❖ Journal du 18 janvier 2019
Article print : Ces galettes, on les aime
Article web : Paris : la galette, on l’aime
❖ Journal du 19 janvier 2019
Article print : Près de chez vous – loisirs
Article web : Paris : à la découverte des joyaux du Moyen-Orient
❖ Journal du 22 janvier 2019
Article print : Ils veulent sauver Panpan !
Article web : Paris : ils veulent sauver les lapins de garenne
❖ Journal du 23 janvier 2019
Article print : Quatre lycéennes invitées à un défilé de la Fashion week
Article web : Paris : des lycéennes parmi les invités de la Fashion week
Pendant la semaine de la mode, la Ville de #Paris permet à près de 60 élèves de lycées professionnels parisiens d’assister aux défilés de haute couture. #PFW2019
cc @Fredhoc https://t.co/3OYyQNTpBp— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 23 janvier 2019
❖ Journal du 25 janvier 2019
Article print : Sport – voix express : « trouvez-vous les adversaires trop durs avec Neymar ? »
❖ Journal du 26 janvier 2019
Article print : Près de chez vous – loisirs
Article web : Paris : dans les coulisses du plus grand cinéma d’Europe
❖ Journal du 30 janvier 2019
Article print : La guinguette flottante Rosa Bonheur en travaux
❖ Journal du 01 février 2019
Article print : Ils rendent le métro plus humain !
Article web : Ces passionnés qui rendent plus humain le métro parisien
{Publication de la Grande Enquête EFJ}
Montrer que dans le contexte d’un métro décrié pour son inconfort et ses incivilités, il existe des initiatives encourageantes et potentiellement porteuses de modèles à développer. Dans le cadre de ma dernière année de licence à l’EFJ, j’ai choisi d’aborder les différentes initiatives collectives qui sont prises en réaction aux incivilités et à l’insécurité dans le métro parisien, pour tenter de faire évoluer l’ambiance entre les usagers. Dans ce cadre, j’ai passé quatre mois à définir les contours de mon projet. L’intérêt de ce challenge était de rassembler une communauté autour des problèmes du métro. J’ai recensé différents types d’incivilités qui sont mal supportés par les usagers au quotidien. Il y a une très large proportion d’usagers qui sont prêts à encourager les initiatives qui tendent à améliorer l’ambiance quotidienne dans le métro. J’ai recensé différentes initiatives concrètes. Même si elles sont marginales, elles sont porteuses de sens. En stage au Parisien, j’ai engagé une démarche pour étudier la possibilité de faire paraître mon mémoire dans le journal. Avec l’accord et la confiance de mes supérieurs, Nicolas Maviel et Charlotte Robinet, j’ai eu l’immense plaisir de voir mon travail publié dans les colonnes du Parisien. Ce dernier article a été l’aboutissement d’un long mois de travail, dans cette rédaction pas comme les autres.
❖ Journal du 02 février 2019
Article print : Près de chez vous – loisirs
Article web : Paris : venez découvrir les saveurs d’Outre-mer
❖ Journal du 06 février 2019
Article print : Sur les traces des policiers
Article web : Paris : à la découverte du musée de la préfecture de police
Conclusion
Ce immersion au Parisien fut un moment très enrichissant. Grâce à l’accueil professionnalisant de Nicolas Maviel et de toute son équipe, j’ai pu m’intégrer à une rédaction où j’étais épanoui dans son fonctionnement éditorial. Ce stage dans un organisme de presse quotidienne régionale fut une agréable découverte professionnelle.