Fondé en 1909, Historia demeure la référence incontournable dans le domaine de l’information historique. Figure iconique de la presse culturelle française, ce magazine, entre passion et tradition, explore depuis plus de cent ans la grande Histoire et la plus petite, tout en éclairant le présent à la lumière du passé. Une publication populaire où la fibre historique se transmet de génération en génération. Dans ce sens, cet éternel passeur de mémoire et d’histoires contribue à la redécouverte des faits historiques, en les transposant aux réalités troublantes de notre monde contemporain. Historia, un titre patrimonial, cultivant la tradition de l’histoire vivante. 

« Celui qui ne connaît pas l’Histoire est condamné à la revivre. »  (Karl Marx)

 

Avant-propos

La matière historique ne se cantonne plus aux récits romancés des Alexandre Dumas, Walter Scott et consorts. Aujourd’hui, cette matière historique gagne en reconnaissance dans la presse. Véritable outil de la narration vivante, cette discipline se diversifie au fil des années pour offrir de nouvelles clés de compréhension de notre monde contemporain. De ce fait, tous les relais d’information de la presse historique, tels Le Figaro Histoire, L’Histoire, Militaria Magazine ou même Géo Histoire, insèrent dans leurs écrits de nouvelles perceptions historiques, qui redéfinissent le rôle même de l’historien. En effet, cet enquêteur du temps passé diversifie ses sources de travail afin de conquérir un nouveau lectorat, en lui offrant de nouveaux supports plurimédias.

▲ C’est à l’Histoire qu’il incombe de faire aimer son pays. (©NouvelObs) 

À l’image du fondateur d’Historia, Jules Tallandier, cette publication se présente comme l’unique revue vivante du passé. L’histoire, et plus particulièrement l’historien, ne se contente plus de narrer moult récits sur fond d’images d’Épinal : elle éclaire les faits historiques en exploitant de nouvelles archives et en battant en brèche les idées reçues. Telle est la tâche qui incombe aux grands titres de presse, se mouvoir en passeur de mémoire et diversifier les approches historiques.

Contexte

▲ 5 décembre 1909, parution du premier numéro du magazine Historia, avec en tête d’affiche la marquise de Pompadour. (©RMN) 

Entre inventivité et tradition, Historia demeure depuis plus de cent ans la référence incontournable dans le domaine de la presse culturelle française. Sous l’impulsion du visionnaire Jules Tallandier, le premier numéro paraît le 5 décembre 1909, dans une époque marquée par les exploits aériens de Blériot, la béatification de Jeanne d’Arc et les mouvements sociaux des miniers. À l’image des grands journaux centenaires de la presse française, Le Figaro, La Croix et L’Humanité, Historia insiste dès sa première parution sur le poids des mots et le choc des photos. Une nouveauté éditoriale qui lance l’aventure du premier bimensuel illustré d’histoire, alors le plus lu au monde. Sous la plume d’auteurs célèbres, comme André Gille et Louis Morin, le premier numéro d’Historia conquiert un large public, conquis par son modernisme : format inédit – 48 pages – et un poster central de la marquise de Pompadour. Une tradition que perpétue dans les années 1920-1930 Rémy Dumoncel, qui relance la marque avec Le Lisez-moi historique : Historia,  qui fait revivre aux lecteurs les ébats amoureux entre Louis XV et Mme de Pompadour ou les guerres napoléoniennes. Un bimensuel très vite accompagné des numéros spéciaux Panorama de la guerre et Le Journal de la femme. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Christian Melchior-Bonnet relance la marque Historia, notamment grâce à Maurice Dumoncel, petit-fils de Jules Tallandier. Sous la houlette de son nouveau rédacteur en chef, André Castelot, Historia renoue avec son identité d’Histoire vivante.

▲ Alain Decaux demeure le passeur de mémoire incontournable
du Magazine Historia dans les années 1970-1980. (©INA)

Pendant près de trente ans, de grands noms de l’Histoire vont marquer de leur empreinte les colonnes du magazine, à l’image d’Alain Decaux, célèbre chroniqueur des années 1970.  Des numéros supplémentaires à ce journal populaire et familial voient le jour pour recontextualiser le passé de la société française moderne : Historia Spécial grand format, Historia Découvertes ou Historia Magazine. Chacun de ces titres plonge le lecteur dans des époques et des sujets variés, telles la Guerre d’Algérie, la Seconde Guerre mondiale ou les croisades. Depuis 2010, Historia honore chaque année les auteurs de romans, biographies, polars, BD historiques, mais aussi les concepteurs de jeux vidéo, les créateurs d’expositions, les cinéastes… lors d’une cérémonie de remise des prix éclectique. Aujourd’hui encore, « l’esprit Historia » continue d’être assuré par la relève de jeunes universitaires, comme Thierry Sarmant, Jean-Yves Le Naour, Laurent Vissière, Franck Ferrand… qui mettent tout en œuvre pour rendre l’histoire accessible au grand public.

▲ Depuis 2010, le magazine Historia récompense les auteurs, chercheurs, archéologues et réalisateurs qui ont marqué l’année de leur empreinte, comme ici en 2016 (©Thomas Salva) 

Économie

Le seul magazine culturel qui couvre toute l’actualité historique depuis 1909. C’est avec Historia que commence l’aventure du journalisme historique en France. Aujourd’hui dirigé par Éric Pincas et propriété du groupe Sophia Publications, Historia demeure le leader de la presse historique en nombre de lecteurs.

Chiffres

• Historia, c’est 605 000 exemplaires par an 
• Historia, c’est plus de 55 000 lecteurs par mois; 
• Historia, c’est près de 45 000 abonnés, soit les deux tiers des ventes annuelles du magazine.

❖ Évolution de la visite du site par les internautes en 2014. (©Historia) 

Analyse

Historia est un magazine mensuel tiré à 90 000 exemplaires et distribué en France et à l’étranger (Canada, Espagne…). Il existe depuis cent huit ans maintenant et est devenu au fil des ans le leader n° 1 de l’information historique en France.

Le contenu : récits (Bataille de Castillon), actualités (film Dunkerque), évènement du mois (Le Havre, 500 ans d’histoires), reportage (Polynésie), guide de lecture (la BD du mois), enquête (le tourisme noir) … tous ces traitements rédactionnels entretiennent le dynamisme éditorial du magazine Historia, mensuel culturel de vulgarisation historique.

Aux onze numéros mensuels du journal s’ajoutent deux autres titres annuels. D’un côté les numéraux spéciaux bimestriels (six numéros dans l’année) et de l’autre les hors-séries.

Ils ne bénéficient d’aucune subvention ni d’aide et vivent grâce au financement privé du groupe Sophia Publications.

En bref

Historia est édité par Sophia Publications, SA au capital de 9 115 568 euros, immatriculée au Registre du commerce et des sociétés sous le numéro RCS 562 029 223 00079, dont le siège social est situé au 8, rue d’Aboukir, à Paris (2e). Contact : 01.70.98.19.19 ; redaction@historia.fr

Équipe de rédaction

Fondé par Jules Tallandier ;

Président-directeur général et directeur de la publication : Claude Perdriel

Directeur éditorial : Maurice Szafran

Directeur éditorial adjoint : Guillaume Malaurie

Directeur délégué : Jean-Claude Rossignol

Comité éditorial : Olivier Coquard, Patrice Gélinet, Catherine Salles, Thierry Sarmant et Laurent Vissière

Rédacteur en chef : Éric Pincas

Rédacteur en chef adjoint chargé des Spéciaux : Victor Battaggion

Assistante de direction : Florence Jaccot

Auteurs : Franck Ferrand, Joëlle Chevé, Virginie Girod, Claire L’Hoër, Paul-François Trioux, Alberto Toscano, Clara Delpas…

Secrétaires de rédaction : Alexis Charniguet, Xavier Donzelli et Jean-Pierre Serieys

Directeur artistique : Stéphane Ravaux

Rédacteur graphiste : Nicolas Cox

Rédacteurs photo : Annie-Claire Auliard et Claire Balladur Segura

Conception graphique : Dominique Pasquet

Activités numériques : Bertrand Clare et Véronique Dumas

Responsable administratif et financier : Nathalie Trehin

Comptabilité : Teddy Merle

Les titres presse sont imprimés chez G. Canale & CSPA (Italie)

Les éditions Sophia Publications, éditeur de cultures

Premier éditeur de presse culturelle de France, le groupe Sophia Publications est devenu un acteur incontournable dans le monde de l’édition. Sous la direction de Claude Perdriel, ce prestigieux groupe de presse diversifie son offre média grâce à ses quatre publications phares : La Recherche, L’Histoire, Le Magazine littéraire et Historia. Avec plus de trois millions d’exemplaires vendus par an, Sophia Publications offre de nouvelles clés de compréhension de notre monde contemporain, par l’histoire des sciences, les épopées romanesques ou les grands dossiers historiques. Le groupe, qui emploie 85 personnes, dynamise ainsi la nouvelle approche web-marketing du journalisme moderne. Une maison de presse influente qui enregistre des recettes annuelles de près de 20 millions d’euros (source : Stratégies).

Numéros spéciaux, hors-séries, livres : dernières publications du magazine Historia

En plus de ses 11 numéros mensuels, Historia publie six numéros spéciaux monothématiques. Historia développe aussi une politique de hors-séries, d’environ trois ou quatre numéros par an, sous ses propres couleurs ou en coédition. Par exemple, des éditeurs de presse, comme Paris Match, Polka, ou des éditeurs de livres, comme Le Lombard, participent à l’élaboration de ces numéros spéciaux, à l’image du numéro six : Thorgal et la saga des Vikings. En parallèle de ces activités, Historia développe une collection de hors-séries dédiés aux carnets de voyage – plus précisément aux pays d’Afrique et du Moyen-Orient –, qui insuffle de nouvelles pistes d’explorations historiques dans le cadre du patrimoine mondial. Par ailleurs, Historia avait lancé entre 2011 et 2014 Historia Éditions, qui consacraient deux livres par an aux plus grandes enquêtes de l’Histoire, à l’image de celui centré sur les grands stratèges militaires.

❖ Audiences AEPM du magazine Historia en 2013. (©Historia) 

Vidéo : Historia, une rédaction au cœur de l’Histoire

Historia permet de cultiver le récit d’histoire pour tous les publics et d’offrir aux lecteurs des balises, pour mieux comprendre le monde d’aujourd’hui. Immersion dans les locaux de la rédaction, rue d’Aboukir (Paris).

Interview – Victor Battaggion : « Il faut raconter l’Histoire, avec une réflexion journalistique de fond. »

Rédacteur en chef adjoint du magazine Historia, Victor Battaggion considère la matière historique comme un outil indispensable à la compréhension de notre société contemporaine. Entretien exclusif sur le rapport des humanités classiques au journalisme moderne. (©Jean-Luc Bertini/Historia)

Pouvez-vous nous définir la notion de « journalisme historique » ?

Victor Battaggion : « Cette notion consiste en un travail de recherches sur des sujets historiques, en rapport avec l’actualité, par laquelle on comprend le présent.  De cette manière, nous pouvons vulgariser cette histoire pour la transmettre à un large public, comme la famille. Tout simplement, nous sommes des passeurs d’Histoire, qu’on transmet avec passion aux gens qui nous lisent. »

L’Histoire occupe-t-elle encore aujourd’hui une grande place dans la presse française ?

Victor Battaggion : « Oui, et cette place dans la presse est même très importante. Les numéros se multiplient et les titres d’Histoire sont de plus en plus nombreux. Il y dix ans, Historia et L’Histoire étaient les deux seuls magazines spécialisés en Histoire. Les hebdomadaires (Le Figaro, L’Express, Le Point) s’appuient sur l’intérêt et l’appétence des Français pour la matière pour proposer des numéros Histoire et donc élargir leur lectorat. Historia est un véritable magazine d’Histoire, avec une belle marque qui doit être respectée et doit continuer à prospérer. »

De quelle manière procède le journaliste historique pour enquêter et rendre ses articles ? De ce fait, peut-on le considérer comme « l’Indiana Jones » de la presse ?

Victor Battaggion : « Notre travail consiste en un regroupement de sources historiques, pour raconter une histoire. À partir d’ouvrages de référence, de clichés photographiques ou même d’artefacts, on choisit un champ de recherche pour étendre les explications de notre récit. De ce fait, il faut raconter l’Histoire avec une réflexion journalistique de fond. Par ailleurs, pour revenir à cette référence amusante d’Indiana Jones, le  journaliste spécialisé en Histoire n’est ni un archéologue ni un chasseur de trésors. Même s’il se déplace, mène des enquêtes historiques, découvre des éléments nouveaux qu’il rapporte à l’actu. Il faut de la passion pour se spécialiser en Histoire, car la matière est vaste et pleine de mystères inattendus. »

Selon-vous, pour quelles raisons Historia réussit-il à demeurer la référence n° 1 sur le marché de la presse historique ?

Victor Battaggion : « Ce magazine intergénérationnel est un titre prestigieux, avec un public très fidélisé. De plus, la multiplication des titres, environ deux par mois, permet justement d’attirer plus de lecteurs. En particulier, les abonnés, qui sont de plus en plus nombreux et qui s’intéressent particulièrement à la manière dont on traite l’Histoire dans chaque numéro. »

Comment envisagez-vous l’avenir de la presse historique ?

Victor Battaggion : « Je ne pense pas que le phénomène va s’essouffler, mais au contraire qu’il va croître. L’essentiel aujourd’hui est de fournir un travail important sur le numérique afin de trouver de nouveaux supports et traitements journalistiques à l’Histoire pour entretenir cette passion, entre nous et le public. »

Paroles d'historiens

Interviews croisées des membres de la rédaction. Analyse générale de leurs perceptions du magazine et de la façon dont ils envisagent son avenir.

Éric Pincas, journaliste passeur d’Histoire

Auteur de l’ouvrage Qui a tué Neandertal ? (2014), Éric Pincas, rédacteur en chef du magazine Historia, dirige actuellement l’un des plus prestigieux titres de la presse culturelle française. Passionné et généreux, il veille à la bonne marche du magazine et est le garant de la ligne éditoriale. Un entretien rythmé, qui vous plongera dans les coulisses du métier de journaliste culturel.

Les aventures de Maxou chez Historia !

La grande aventure Historia, je l’ai vécue en tant que lecteur, et désormais je la vis au quotidien. Un média historique, repère de fous d’Histoire et de passionnés de la reconstitution vivante, que j’ai rejoint en toute hâte, avec fougue et panache. En ce 2 mai 2017, j’entre dans la légende d’un média centenaire, icône incontournable et intouchable de la presse historique française. Une aventure journalistique unique. Lorsque, en cette journée du 2 mai, je pénètre dans les locaux d’Historia, rue d’Aboukir, j’ai conscience du défi que sera d’intégrer cette prestigieuse rédaction. Deux mois de sacrifices, de courage et de volonté pour parfaire mon apprentissage et vivre une expérience incroyable.

▲ Immersion MOJO au cœur du musée de la Grande Guerre du pays de Meaux. (©Jérémy Larquet) 

L’art de l’image est souvent plus évocateur que certains discours célèbres. C’est ainsi que l’iconographie m’est présentée par ma référente, Annie-Claire Auliard. Pour ma première affectation officielle, voilà comment je dois désormais penser l’Histoire. Gravures, peintures, photographies, enluminures… la matière historique se réinvente grâce au pouvoir de l’iconographie. Trouver des illustrations pertinentes pour dynamiser l’Histoire vivante, voilà comment ce poste d’iconographe apporte un niveau de lecture complémentaire à la lecture originelle du texte. Gergovie, Castillon, Le Mans, Dunkerque, Florence, Montréal, Haïti, nombreuses sont les destinations historiques, que l’iconographe se doit de faire visiter pour raconter le plus fidèlement possible leurs trésors patrimoniaux. Plus de 50 images sont traitées par jour ; et leurs tarifs, négociés avec les agences Bridgeman, Pix Palace ou Rue des Archives. À l’occasion du partenariat médiatique entre l’INRAP et Historia, j’ai ainsi pu faire mon baptême du feu en iconographie, en couvrant intégralement le dossier spécial été, sur les grandes découvertes archéologiques en France. Une belle tâche, que j’ai conduite pendant près d’un mois et demi, avec détermination et envie. L’iconographie, un métier entre patience et réflexion, ou la belle photo suscite l’intérêt du lecteur en le transportant dans le passé.

▲ Entretien émouvant avec le célèbre journaliste italien Alberto Toscano. Ancien chroniqueur pour RTL, professeur à Sciences po et historien incontournable sur l’époque de l’Italie pendant la Seconde Guerre mondiale. Une rencontre exceptionnelle pour cette personnalité journalistique hors du commun. (©Marianne Boulat)

Mon expérience journalistique n’a véritablement débuté que fin mai. À la demande du rédacteur en chef, Éric Pincas, je signe mon premier article pour le magazine. Une chronique cinéma consacrée au nouveau film de Guy Ritchie, Le Roi Arthur : la légende d’Excalibur. Une fierté et la récompense personnelle d’un travail acharné de plus d’un mois.  Sur cette bonne dynamique,  j’ai pu alterner mes activités entre la vidéo et l’écriture pour dynamiser le site Web. Armé d’un Smartphone et la force du MOJO dans le cœur, je voyage entre les époques pour redonner du sens à l’Histoire vivante. Gladiateurs, chevaliers, poilus et autres figures symboliques, j’immortalise lors de des rassemblements de reconstitutions historiques, ces instants anodins transposés en plein coeur de notre réalité. De très belles rencontres en perspective, comme celle avec le journaliste Alberto Toscano, l’archéologue Bastien Dubuis, le reconstituteur René Cubaynes ou l’ancien résistant Hubert Cloix, qui m’ont conforté dans mon choix de poursuivre dans cette voie. Le journalisme historique, un métier d’avenir entre passion et tradition.

▲ Rencontre cocasse et fort sympathique avec le youtuber et historien Benjamin Brillaud, alias Nota Bene.  Une dernière semaine de stage marquée par l’émotion de mon entrevue avec ce passeur d’histoire(s) 2.0. (©Éric Pincas)

Contributions journalistiques

L’ensemble de mes travaux est présenté dans la liste ci-dessous. Quelle fierté que de pouvoir écrire quelques lignes, dans ce magazine célèbre, où la marque de l’Histoire est présente au quotidien. Un travail honorifique, passionnant et enrichissant, qui m’a permis d’excercer ma passion pour le journalisme historique. Bonne lecture à tous !

Articles 

• Longue vie au roi Arthur (24 mai 2017)
• D-day : à l’assaut de la pointe du Hoc (7 juin 2017)
• À l’abordage de Pirates des Caraïbes (14 juin 2017)
• Game of Thrones, de la Fantaisy pas fantaisiste (03 août 2017)
• Le Mans : À la découverte du blockhaus de la rue Chanzy (07 août 2017)
• Un lifting 2.0 pour les collections du British Museum (17 août 2017)
• 1ère Partie : Le Who’s who historique de Game of Thrones (23 août 2017)
• D-Day : La grande illusion de George Klein (25 août 2017)
• Gladiator : la gloire ou la mort (04 septembre 2017)
• Béhourd : Le choc des titans (11 septembre 2017)

Reportages 

• Reconstitution d’un bivouac de la Grande Guerre (3 mai 2017)
• Une légion romaine à Saint-Germain-en-Laye (16 mai 2017)
• Saint-Maur médiéval (27 mai 2017)
• Journée nationale de la Résistance (2 juin 2017)
• La Guerre du Vietnam et les médias (19 juin 2017)
• Archéo : le mystère de la tombe celte du prince de Lavau (29 juin 2017)
• Bartali, un maillot jaune au coeur d’or (30 juin 2017)
• 150 ans du Canada. L’épopée canadienne (19 juillet 2017)
• Dans l’antre du Grand Blockhaus (25 juillet 2017)

Magazines 

À l’occasion de ma formation d’iconographe, j’ai eu l’occasion de participer aux illustrations du Spécial Canada et du double numéro d’été (847-848), consacré aux sites archéologiques méconnus de l’histoire de France.

⏩ Collaboration iconographique post-stage 

   

Postface

Historia, une aventure humaine et épique qui demeure source de passion et d’admiration des foules. Un univers tourné vers la compréhension des faits de société qui au quotidien bouleversent notre humanité. Dans ce contexte, l’Histoire continue de donner du sens au présent. Méditons ainsi, sur les paroles du philosophe anglais, Herbert Spencer (1820-1903) : « La société existe pour le bénéfice des hommes, et non les hommes pour le bénéfice de la société. » Cette matière culturelle, intergénérationnelle, pleine de mystères et de liturgies, nous étonne autant qu’elle nous fascine. Une grande famille, juste et généreuse, qui marquera à jamais ma première expérience dans le monde des médias.

Merci à toute l’équipe d’Historia, Annie-Claire, Véronique, Claire, Florence, Marianne, Amel, Guillaume, Éric, Victor, Bertrand, Stéphane, Nicolas, Xavier, Alexis et Jean-Pierre pour cet accueil généreux et bienveillant. L’occasion pour moi de remercier cette rédaction unique qui a fait de ce stage  une expérience formatrice  inoubliable !