Avec Neil Craver, les corps nus s’expriment sous l’eau au coeur de la nature, comme si la beauté rimait avec flore et nudité (…). Les membres de ces femmes, aussi belles que naturelles, se confondent alors avec ceux des arbres contemplatifs.
Couleurs variées, contrastes, volumes, dégradés pour des mondes qui se côtoient là où le regard ne va pas. Armé de son Canon EOS 1Ds Mark II, le photographe mettra plus de 3 ans pour réaliser sa série « OmniPhantasmic » et rendre l’effet saisissant du poids du corps dans l’eau.
Swiatoslaw Wojtkowiakest un photographe polonais à la riche expérience récompensée à de nombreuses reprises notamment aux compétitions 2006 et 2007 du concours National Geographic. Après avoir raccroché avec ses anciens postes de photographe pour CNNou Lonely Planet, il se lance dans un véritable « Tales from the World » .
Les Bâuls et fakirs du Bengale, la culture de la bière dans les pays occidentaux ou le terrible labeur des travailleurs des briqueteries au Bangladesh, autant de sujets différents pour un artiste qui sillonne le monde à la recherche de réalités à immortaliser.
De magnifiques photos de danseurs nus en plein New York
Jordan Matterest un photographe New Yorkais qui se déplace de ville en ville – Paris, Londres ou New York – pour son sujet de prédilection: la danse sous toutes ses formes. Son dernier projet s’est déroulé dans sa ville natale où des danseurs étoiles sont venus se dénuder devant son objectif.
Pour profiter d’une relative accalmie dans la frénésie urbaine New Yorkaise, le photographe a choisi la tombée de la nuit pour immortaliser ses sujets le temps d’une séance photo.
Dasic, ça rime avec poétique, magique, cosmique aussi. Ce graffeur originaire du Chili a donné de la couleur et de l’expression aux murs urbains du monde entier (…).
Surréalisme, couleurs primaires à l’honneur, élans troublants, illusion, volume… Ces œuvres gigantesques en 3 dimensions donnent le tournis (…). Les personnages mis en scène donnent l’impression de se décomposer, comme sur le point de disparaître sous nos yeux, attirés par des forces cosmiques, invisibles et irrésistibles. On aurait presque envie de les suivre.
Le street art militant et revendicateur s’installe sur les murs des villes du monde entier. La crise européenne en 2011, la coupe du monde au Brésil en 2014 ou la lutte contre la déforestation en Amazonie, autant d’inspirations pour des artistes qui représentent leur dégoût d’un monde devenu fou. Retour sur 3 illustres graffeurs connus pour leur grogne artistique.
Banksy, personnage mythique de la scène du graffiti, est l’un des premiers à se faire connaitre pour ses fresques militantes. Originaire de Bristol en Angleterre, l’artiste vagabond commence le graff’ dans les années 80. Ton ironique, sarcastique, désenchanté ou optimiste pour dénoncer la guerre, le pouvoir de l’argent et la surveillance technologique ou encourager le pacifisme et la solidarité. Autant de messages philanthropiques marqués au pochoir, à main levée ou à l’aérosol.
Bienvenue à Grenade: un musée street art à ciel ouvert
Grenade, l’andalouse, célèbre pour ses courbes orientales splendidement illustrées par son majestueux palais de l’Alhambra, révèle un tout autre esthétisme bien plus « street » qui conserve le même esprit lumineux et coloré.
Alors que les visiteurs s’entassent dans les files d’attente interminables des sites touristiques, un quartier calme et tranquille offre un panorama de graffitis à la bombe et de fresques murales qui ornent les casas des locaux, habitués à la signature de son maître: El Niño de las Pinturas.
Bienvenue à Realejo, le barrio devenu l’immense terrain de jeu du plus célèbre graffeur andalou.