Si t’aimes tâter le tuba, dépêche-toi: tu n’as que 4 mois pour profiter chaque année de ce magnifique lac temporaire
Surprenant mais vrai, entre mai et septembre, le parc autrichien Tragoess est submergé par la fonte des neiges et se transforme en lac éphémère: une occasion idéale pour les amoureux de la plongée.
Dès la venue de l’automne, il s’assèchera pour cette fois satisfaire touristes et randonneurs…
L’un des rares phénomènes météorologiques encore inexpliqué…
150 jours par an, des orages électriquesd’une force colossale viennent troubler les nuits silencieuses à l’embouchure de la rivière de Catatumbo, au-dessus du lac de Maracaibo au Venezuela.
Si les scientifiques se prennent encore la tête sur le pourquoi du comment, touristes, curieux et photographes s’en mettent plein les yeux tout au long de l’année.
Situé dans le parc national Ciénagas del Catatumbo, le lac de Maracaibo est déjà une petite pépite de la nature. Pour parfaire sa splendeur, une véritable pluie de foudres nocturnes se produit au moins 150 jours par an: 280 impacts de foudre par heure d’une longueur variant de 2 à 10 km, parfois jusqu’à 28 frappes par minute!
« Les paysages de montagnes et de rivières de Guilin sont les plus beaux qui existent sous le ciel »… Ce proverbe chinois résume bien le panorama offert dans cette partie orientale de la Chine.
La Li, c’est d’abord 437 km de rivière dont 83km qui s’écoulent au fil d’une trajectoire sinueuse entre Guilin et Yangzhoudans la splendide région de Guangxi. 83km de quiétude où se reflètent les pics calcaires de collines verdoyantes aux formes généreuses (…).
Les plus beaux paysages traversés par la rivière se situent entreYangdi et Xingping où la campagne est d’une telle beauté que les billets de 20 Yuans lui rendent hommage.
Dans les confins du pays du Kiwi, il y a de quoi patauger dans les cartes postales. Et les scénaristes ont en pris bonne note: le Milford sound, le lac Rotorua ou la Cathedral Cove… En gros, des paysages qui sortent tout droit d’un trip, idéal pour recréer des universcinématographiques psychédéliques. On t’a préparé une petite diapo entre trois plateaux de tournage.
Au pays de la Terre du Milieu: la saga du Seigneur des Anneaux
Considérée comme l’une des saga les plus ambitieuses de l’histoire du cinéma, avec un premier budget de 285.000.000$, le Seigneur des Anneaux avait de larges ressources pour se taper un joli road-trip. Entre lacs volcaniques, plaines couleur feu et montagnes titanesques, le réalisateur Peter Jackson s’est offert plus de 150 sites différents au pays qui se fait appelé la patrie de la Terre du Milieu depuis la saga fantastique.
Avec Neil Craver, les corps nus s’expriment sous l’eau au coeur de la nature, comme si la beauté rimait avec flore et nudité (…). Les membres de ces femmes, aussi belles que naturelles, se confondent alors avec ceux des arbres contemplatifs.
Couleurs variées, contrastes, volumes, dégradés pour des mondes qui se côtoient là où le regard ne va pas. Armé de son Canon EOS 1Ds Mark II, le photographe mettra plus de 3 ans pour réaliser sa série « OmniPhantasmic » et rendre l’effet saisissant du poids du corps dans l’eau.
Swiatoslaw Wojtkowiakest un photographe polonais à la riche expérience récompensée à de nombreuses reprises notamment aux compétitions 2006 et 2007 du concours National Geographic. Après avoir raccroché avec ses anciens postes de photographe pour CNNou Lonely Planet, il se lance dans un véritable « Tales from the World » .
Les Bâuls et fakirs du Bengale, la culture de la bière dans les pays occidentaux ou le terrible labeur des travailleurs des briqueteries au Bangladesh, autant de sujets différents pour un artiste qui sillonne le monde à la recherche de réalités à immortaliser.
De magnifiques photos de danseurs nus en plein New York
Jordan Matterest un photographe New Yorkais qui se déplace de ville en ville – Paris, Londres ou New York – pour son sujet de prédilection: la danse sous toutes ses formes. Son dernier projet s’est déroulé dans sa ville natale où des danseurs étoiles sont venus se dénuder devant son objectif.
Pour profiter d’une relative accalmie dans la frénésie urbaine New Yorkaise, le photographe a choisi la tombée de la nuit pour immortaliser ses sujets le temps d’une séance photo.