Contexte

Toile de fond

 

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Quel rapport entre une Grande Enquête en datajournalisme et une équipe de football ? A priori aucun… Et pourtant.

Qui dit 3ème année à l’EFJ, dit Grande Enquête. Un moment forcément stressant, quand on sait que « notre année » se joue maintenant… Sur un simple bout de papier. Enfin une page web en l’occurrence.

Pas le droit à l’erreur donc, à l’image du 8e de finale retour de Ligue des Champions entre Chelsea et le PSG. Et comme le club de la capitale, nous espérons sortir victorieux de cette partie, malgré la difficulté.

Première chose à faire, le choix du support. Ces paroles de mon cher père, « la vie est faite de choix, fils !« , raisonne dans ma tête. Dans le cas présent, quatre solutions s’offrent à moi : les trois « incontournables » presse écrite-radio-audiovisuel, tels Messi-Ronaldo-Iniesta (ou Cruyff-Rep-Keizer pour les plus anciens). Et un petit nouveau,  le datajournalisme, que l’on peut associer à Neymar nommé, pour la première fois, parmi les trois finalistes du Ballon d’or 2015.

Dans un premier temps attiré par la presse écrite, je me laisse finalement tenté la data. Je m’oriente vers l’inconnue, tel André-Pierre Gignac s’envolant de Marseille en direction du club des Tigres, pour déguster des tacos au Mexique. Une expérience nouvelle en tout point.

Jusque là habitué à travailler seul, hormis en audiovisuel, je me retrouve entouré de 10, puis 7 coéquipiers. Une situation qui ne me déplaît pas, bien au contraire. A partir de maintenant, nous sommes un groupe, où les individualités sont toujours au service du collectif… A l’image de Lassana Diarra, toujours au diapason pour ses partenaires. L’individualisme laisse place à l’altruisme.

Comme dirait le slogan du club de football du Liverpool FC : «You’ll Never Walk Alone»… Nous marcherons à 8 (numéro de l’emblématique capitaine des Reds, Steven Gerrard) vers la conquête du Graal suprême, le diplôme de l’EFJ.