Donald Trump: Un bouleversement géopolitque

Désormais à la tête de la première puissance mondiale, Donald Trump tient le monde entre ses mains et pourrait bien être le déclencheur d’un changement géopolitique radical.
«  »America first » sera le thème majeur de mon administration ». Tels sont les mots de Donald Trump, fraîchement élu 45eme président des Etats-Unis, qui expriment un désire ardent de redorer le blason du pays de l’Oncle Sam. Un maniement géopolitique s’impose alors, mais par quels moyens?
Lors de sa campagne, Trump a clairement fait part de sa priorité : intensifier la lutte contre Daesh. Pour combattre l’ennemi publique numéro 1, le multimilliardaire ne manque pas d’idées. Non seulement il propose un renforcement militaire en Irak et en Syrie, mais il va jusqu’à suggérer de s’en prendre directement aux familles des membres de l’Etat Islamique. Une décision controversée pouvant être condamnée comme crime contre l’humanité.
De cette lutte acharnée contre les djihadistes, naît une alliance Russie/Etats-Unis plus que renforcée. En effet, Trump explique qu’une attaque en Syrie n’est pas une priorité celle-ci étant liée à la Russie, amie des Etats-Unis.
Pour Donald Trump, l’Europe, qu’il ne considère pas comme une puissance politique, ne se résume uniquement à la Russie et à l’OTAN. C’est pourquoi l’organisation du traité de l’atlantique nord se voie menacée par les Etats-Unis de réduire leur engagement vis-à-vis d’eux. En effet, le républicain estime que les autres états membres de l’organisation ne dépensent pas assez pour leur défense et que les Etats-Unis ont déja bien trop investi. Mais il ne s’agit pas la de la seule menace qui plane sur l’OTAN. La chasse aux migrants et la lutte contre l’Etat Islamique seront désormais leur principale mission.
En ce qui concerne l’immigration, des mesures drastiques sont fortement envisagées. En effet, le magnat de l’immobiler prévoit de construire un mur à la frontière mexicaine pour lutter contre les immigrations illégales et les trafics. Mais coup de théâtre ! Trump surprend encore une fois en annoncant que ce serait l’état mexicain lui même qui financerait ce projet. Mais à quel prix?
Au programme: l’expulsion de plus de 6 millions d’immigrés clandestins, contrôle approfondis aux frontières et peine de prison de 2 ans minimum imposés aux immigrants clandestins expulsés qui tenteraient de revenir sur le sol américain. Des projets qui font froids dans le dos.
En Asie, les tensions avec les Etats-Unis s’accentuent. Trump considère la Chine comme le responsable de la chute des marchés américains. Résultat: une taxe de 45% sur tous les produits provenant de Chine sera appliquée.
La Corée su Sud et le Japon se voient obliger de participer davantage au financement de la présence militaire sur leur territoire sous peine de ne plus recevoir de défense de la part des Etats-Unis.
Trump fait part d’un programme géopolitique dense et difficile à mettre en place tant sur la durée que sur le plan économique, mais sera-t-il bénéfique au peuple américain?

Macdonald’s : Un menu couteux !

« Ils volaient des big mac pour se nourrir »
Jeudi 14 avril. Une violente manifestation éclate dans le village d’Okougoua au nord du Gabon. Pour cause: le seul et unique Macdonald’s de la ville risque la démolition.
Une soixantaine de villageois ont tenté ce matin de renverser le bulldozer censé détruire le bâtiment. D’autres, ont menacé le conducteur à la machete tandis que certains, plus calmes, signaient une pétition contre le projet.
3 ans déja que le géant du fast food ravit les 2000 villageaois d’Okougoua. Personalités et touristes se déplacent dans le seul but d’admirer et surtout de manger dans un fast food en pleine forêt africaine. Une aubaine pour l’économie et la survie du village qui crée une mixité sociale inconnue de ses habitants. « C’était la première fois que je voyais un homme blanc » a déclaré Kunji, un jeune okougouais.
Quelques jours plus tôt, le chef du village, Alain Mouzoungou, avait annoncé au départ une rénovation suivie d’une réouverture du lieu. Motif: des ours s’infltraient dans le macdonald en cassant des fenêtres. Ils volaient des big mac pour se nourrir. Engendrant alors de grosses pertes pour l’enseigne, la municipalité du village à decidé de renforcer la sécurité du bâtiment. Un soulagement de courte durée pour les Okougouais. Il semblerait que 2 jours avant la manifestation, les « anciens », qui constituent le coeur de la cité, avaient finalement décidé d’abandonner le projet. À la place: un édifice consacré à leur divinité « Bongo » devait être érigé. Un investissement « moins coûteux et plus utile au village » d’après Mr Mouzoungou. Le débat est lancé. Quel avenir pour les okougouais?

Astolfo Zingaro : Le grand énigmatique

Autodidacte de la peinture, Astolfo Zingaro, d’origine italienne, voit ses œuvres affichées dans de grands salons parisiens.  Retour sur son parcours.

 

Antre typique du peintre. D’innombrables tableaux qui tapissent les murs, des photographies à n’en plus savoir compter, des pinceaux qui se bousculent pour trouver une place, des chiffons qui attendent sagement d’être sali à nouveau, un sol criblé d’éclats de peinture. Quant aux pots de peinture entassés les uns sur les autres, eux, font partie intégrante du décor. Et puis il y a Astolfo Zingaro, qui se fond parfaitement dans cet artistique bazar. Polo rouge, pantalon en toile, chaussures noires, le tout parsemé de peinture. Un original cliché.

 

Vivant à Montmarte depuis sa plus tendre enfance, il observe des heures durant les « mecs » de la place Dutertre, ces artistes de rue dévoués à leur art, donnant vie à chaque détail qui les entoure. C’est à cet instant qu’il s’est épris de la peinture. C’est à cet instant qu’il a su que la suite serait difficile.

Il peint sa toile. Ah Il hésite. Tantôt gestes assurés tantôt plus timides, il remet une couche. Comme il l’exprime si bien de petite voix roque, « c’est la toile qui nous conduis, à partir du moment où on veut diriger on se crispe ». Cheveux gris qui trahissent son âge, petites lunettes rondes au bout du nez, air renfrogné. Il semble être un homme simple parmi tant d’autres. Difficile de s’imaginer que cet autodidacte a connu un certain succès dans de grandes villes d’Europe. Paris, Toulouse, Lyon, Nevers, Lausanne, Genève, Berlin. Il cache bien son jeu.

Il confie qu’il aimerait « peindre haut en couleur ». Ce désire parait plus qu’évident. Les photos en noir et blanc, le portrait accroché au mur, la représentation des murs de Montmartre, le tableau imbibé de peinture noire et rouge, même son accoutrement de peintre. Tout est terne. Seule la lumière qui émane de l’extérieur donne de l’éclat à ces œuvres, « en monochromes de Gris ». Il finit par avouer toujours faire la même chose.

Art abstrait ou figuratif ? Son cœur balance. De nature classique, l’artiste, d’origine italienne, s’adonne aux natures mortes et aux paysages. Les œuvres qui tapissent son mur en témoignent. Mais ça ne lui suffit pas. Fasciné par les civilisations anciennes il entreprend une série de voyage qui va décupler son champ artistique. Le Népal, l’Inde, Le Mexique lui servent donc de passerelle vers l’abstrait et les œuvres qui l’entourent en sont le résultat. Faudrait-il encore en être sure « je ne suis pas abstrait mais je suis extérieurement abstrait ». Comprendra qui pourra. Après un acheminement tumultueux, Zingaro « espère être allé au bout de l’aventure ». Est-ce le cas ?

Toys’r’us : Racisme chez les poupées ?

“Il n’était en aucun cas voulu de provoquer une telle émeute, d’autant plus de montrer une quelconque forme de racisme”

Un scandale ! La firme américaine Toys’r’us créé la polémique ce mercredi 16 Novembre en affichant une différence de prix entre les poupées de peau blanche et celles de peau noire. Certains clients ont en effet remarqué une hausse de 2 dollars sur le modèle afro-américain.

Suite à cette révélation, grand nombre de personnes, en majorité parents d’enfants en bas âges, se sont mobilisés pour faire réagir la firme. Et pour cause ? Un comportement jugé raciste et inacceptable. Toys’r’us s’est aussitôt exprimé : “il n’était en aucun cas voulu de provoquer une telle émeute, d’autant plus de montrer une quelconque forme de racisme”. Une facture salée pour la marque qui assiste à une chute de ses ventes et à une impopularité auprès de ses consommateurs. Celle-ci a immédiatement réagi  en modifiant ses prix. Toutes les poupées, blanches comme noires affichent désormais un prix unique de 25 dollars.

Toys’r’us avait créé au départ des poupées de différentes ethnies pour permettre à ses jeunes consommateurs de s’identifier à travers chaque modèle, bannissant tout stéréotype. Grande blonde à la peau claire et aux yeux bleus. Alors acte intentionnel ou simple coïncidence ?

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