Steep, une expérience riche en émotions

A l’approche de la sortie du jeu tant attendu d’Ubisoft, Steep. Nous avons essayé la Beta mise à disposition pendant 48H. Quels sont les points positifs ? Et hélas les négatifs.

On va commencé par les points négatifs car ils sont moindres. En effet, la texture des paysages laisse à désirer malgré des magnifiques décors. Dans la mesure où nous sommes en 2016, les gameurs qui déboursent 70 euros pour un jeu, attendent des prouesses graphiques. Malheureusement c’est raté ! Pour ne pas s’arrêter sur notre lancée, le gameplay du jeu est un vrai labyrinthe. Allez ici, faites cette mission ou ce « contest »…Que d’objectifs pour une carrière qui ne semble pas vraiment en être une.
L’une des principales déceptions de ce jeu est le manque de marques officielles mis à part RedBull et GoPro.
A part ça, Steep s’annonce comme la relève de Shauwn White Snowboarding ou encore SSX pour les plus vieux d’entre nous.
Les points positifs de ce jeu sont nombreux malgré quelques défauts. Le bruit des pas dans la neige, ainsi que celui des ski sur les quarts rendent le jeu immersif et réaliste. Du sommet de la montagne, en passant par « lignes » hors pistes dans les rochers, Steep nous envoi dans le monde des skieurs/snowboarder freeride.
De plus, la présence de wingsuit pour la première fois dans un jeu, ainsi que le parapente ajoutent de la folie au jeu. Un mode « ralenti » vous permettra également d’éditer vos propres run en ski, en snow, en parapente ainsi qu’en wingsuit.
Un jeu rythmé par une bande son motivante et adaptée aux situations de freestyle que vous risqué d’expérimenter.

En gros, Steep s’annonce comme un jeu totalement innovant dans le paysage des jeux vidéos axés sur les sports d’hiver. En attendant sa sortie le 2 Décembre 2016, allez vous entrainer sur les pistes de ski afin de pouvoir

Le Salon de La Presse au Futur

LA PRESSE DU FUTUR EN MARCHE

Salon Presse au Futur
Salon Presse au Futur

Voilà 10 ans que le salon de la presse existe. Une façon pour lui de mettre à l’honneur le digital.

Durant deux journées des exposants, commerciaux ou encore journalistes sillonnent le New Cap Event Center. Des nouveautés, des améliorations, le salon “au futur” est plein d’idées innovantes.

En majeur partie représentés par des exposants commerciaux, les stands sont à la portée de tous les visiteurs. Une personne mal informée sur le sujet repars avec des idées plus claires. Cependant, la mise en avant du digital et de la numérisation de la presse peut en perdre plus d’un. Après avoir assisté à la conférence du retour d’expérience du groupe AEF/QWAM, tout n’était pas clair. Logiciels de veille, Big Data ou encore gestion de flux numériques… Il faut s’accrocher.

Aujourd’hui tout se fait sur ordinateur et par internet. Un réseau utilisé par une rédaction se doit d’être 100% fiable et sécurisé. C’est là qu’interviennent les éditeurs de logiciels, ou de plateformes de stockage. La numérisation de l’information se révèle être handicapante pour les journalistes n’étant pas adeptes des nouvelles technologies. Il faut un logiciel qui gère ce flux incessant d’information.

Christian Languoin directeur de QWAM (éditeur de logiciels de veille et de gestion de flux numérique) nous révèle qu’avec plus de 220 000 sources administrées, 8 langues disponibles, les journalistes sont en constante exploitation de flux d’informations web. Les médias sont les premiers clients de ces nouvelles pratiques.

Un futur pas si lointain, tout proche même.dsc_0101

Le salon de La Presse Au Futur, ce n’est pas que des innovations dans le secteur de la gestion de flux numériques. Le digital apporte un coté ludique assez fascinant. Nous avons passé beaucoup de temps au stand de OnPrint, une startup qui grâce à la technologie de reconnaissance d’image, permet de naviguer sur un smartphone à partir d’un document imprimé. Une nouvelle manière d’accéder à l’information. Corentin Agar, business developper chez OnPrint nous confie que le secteur de l’éducation est la première cible. La possibilité de voir en réalité augmenté un lieux lors d’un cours d’histoire par exemple est une opportunité à saisir.

“La jeunesse, les utilisateurs de demain”

 Smartphones, tablettes, ordinateurs. Le monde d’aujourd’hui est ultra-connecté. De plus en plus jeunes et partout dans le monde, la prochaine génération se prépare. La principale source d’information est internet. Aujourd’hui tout se trouve sous notre main. La plupart des exposants misent sur une numérisation de la presse. Ils ne parient pas contre la presse papier, ils ne font qu’anticipé l’inévitable. Cela ne veut pas dire que le numérique prendra toute la place, certains utilisent déjà ces services il faut donc les perfectionnés. Après tout, on n’arrête pas le progrès…

QWAM, AEF, OnPrint et beaucoup d’autres contribuent à la presse du futur, pour le futur. Les annonceurs se livre désormais un combat pour faire utilisé leurs logiciels. Une course à la numérisation qui prends une tout autre dimension que celle du journalisme… L’aspect économique.

J.L

 

 

Trump, Breitbart News… Et la France ?

Drapeau USA VS Confédéré
Drapeau USA VS Confédéré

Élu depuis peu, pas encore à la Maison Blanche, le futur président Américain D.Trump fais d’ors et déjà parler de lui. Une personnalité bien trempée, des convictions protectionnistes auxquelles s’ajoutent un entourage pas toujours blanc ! Breitbart, média américain d’extrême droite dirigé par Stephen « Steve » Bannon, à pour ambition de s’étendre sur le « Vieux Continent ».

L’approche des élection présidentielles française provoque un interêt particulier pour les médias contestataires américains. Le journal d’extrême droite Breitbart News,localisé aux Etats unis y voit un moyen de se répandre en France ainsi qu’en Allemagne.La montée des partis nationalistes y est pour quelque-chose. En effet, Steve Bannon voit en Marion Maréchal Le Pen le renouveau du nationalisme français.

Dans les mois qui vont suivre, il est fort probable d’assister à un rapprochement flagrant du parti de Marine Le Pen et de Breitbart News. C’est lors de son passage à Radio-Londres que Steve Bannon déclare que « la France est l’endroit où il faut être » et que « Marion Le Pen est la nouvelle étoile montante ». Avec de telles déclarations, l’ex directeur de campagne de D.Trump met une pièce sur la présence de partis conservateurs extrémistes en Europe. C’est donc en France, dans un contexte tendu, que le très controversé Bannon compte installé une branche de Breitbart News.

Voici une deuxième surprise de mauvais goût qui vient s’ajoutée à celle de l’élection de D.Trump. Nous verrons d’ici peu, l’implantation de Bannon qui, grâce aux lois françaises, devra modifier sa ligne éditoriale. Dans le sens où, l’apologie de l’antisémitisme et de la xénophobie sont sévèrement réprimandées, le site ne devrait pas obtenir beaucoup de lectorat.

J.L